En Italie, la diffusion de la série a commencé le sur la chaîne payante satellitaire Fox Life. Puis sur la Rai 4. En France, la série est diffusée depuis le sur Série Club.
Quand elle apprend le décès de sa tante, Frankie décide de revenir à Glasgow. Elle y retrouve son ex compagne, Cat, qui n'a toujours pas digéré son départ, et ses amis, mais aussi tout un passé qui resurgit. Son amie Tess a du mal à retrouver une personne avec qui partager sa vie après une rupture un peu brutale. Ses amours et sa carrière professionnelle ne décollent pas. Quant à Cat, elle doit gérer le retour de Frankie, et le début d'une nouvelle relation qu'elle entame avec Sam.
Saison 2
Frankie et Cat doivent faire face aux sentiments du passé qui resurgissent et viennent mettre en péril la relation que Cat entretient avec sa compagne actuelle Sam. Malheureusement Frankie et Sam vont alors devoir vivre ensemble la perte de Cat. Tess, de son côté, obtient un rôle important pour sa carrière de comédienne et alors qu'une nouvelle colocataire, Lexi, emménage avec elle et Frankie, elle va devoir apprendre à gérer ses sentiments naissants pour cette nouvelle habitante. Quant à Sadie, elle entretient une relation avec une femme mariée et se voit confier un emploi par la compagne de celle-ci.
Le premier épisode a été vu par 580 000 téléspectateurs et une part de marché de 4,4 %. Il a reçu des avis mitigés de la part des critiques. Claudia Cahalane de The Guardian a écrit que c'était « très significatif » (« hugely significant ») pour une série de normaliser des relations lesbiennes et bisexuelles, citant une étude de la BBC mettant en lumière le fait que les lesbiennes ne représentaient que 2 minutes d'antenne sur 39 heures sélectionnées aléatoirement. Alors que Cahalane a exprimé directement son regret que la série ne représente pas de butch, elle a considéré « important de reconnaître que Lip Service rend un grand service aux lesbiennes britanniques »[2].
Keith Watson de Metro a dénoncé l'apparition de lesbiennes uniquement fem comme étant seulement dans le but d'assurer le quota ethnique de la BBC, et a commenté en disant : « cela essaye terriblement d'être moderne et libéré mais c'est juste fatigué et paresseux »[3].