Fils d'un négociant en matériaux de construction, Lionel Cottet, après avoir travaillé longtemps auprès de son père, prend sa succession à la tête de l'entreprise.
Tête de la liste d'Union et fraternité française en Indre-et-Loire en 1956, il obtient 11 % des voix et est élu député grâce à l'apparentement avec deux autres listes d'inspiration poujadistes, qui obtiennent respectivement 3,1 % et 5,7 %.
Cet apparentement illégal conduit à l'invalidation de son élection, prononcée le 21 mars 1956. Le radical Pierre Souquès est proclamé élu à sa place.