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Petite-fille de Jules Guesde[2], Lilian Constantini a commencé une carrière de danseuse et de comédienne au début des années 1920 avant d'épouser l'industriel Charles Schneider[3]. Ils sont les parents de Dominique Schneidre et de Catherine Schneider.
À la Libération, Charles, à la tête du groupe Schneider et Cie, lui confie la charge des œuvres sociales de la ville du Creusot, notamment elle préside l'Hôtel-Dieu et fait construire des maisons pour les Anciens. Les creusotins la surnomme "la bonne Dame du Creusot".
Dans Les Passagers du souvenir, Maurice Bessy évoque la « jeune femme ravissante, Lilian Constantini, celle-là même qui (...) devint par veuvage maîtresse de forges et régna sur l'empire du Creusot »[7].