Les premiers essais se déroulent sur la nouvelle section entre la Croix d'Anzin et le cimetière de Bruay-sur-l'Escaut le puis la ligne est mise en service en traction vapeur le entre la place du Marché aux Herbes à Valenciennes et cimetière de Bruay[1].
Le , les extensions de Vieux-Condé à Hergnies et de la porte de Tournai à la frontière avec la ville belge de Bon-Secours sont déclarées d'utilité publique[5]. Le prolongement vers la frontière avec Bon-Secours est mis en service le de la même année[6],[7]. Il faut attendre le pour voir la mise en service du prolongement de Vieux-Condé à Hergnies[7].
La Première Guerre mondiale et l'électrification (1914-1923)
Au tout début de la Première Guerre mondiale le trafic est brièvement interrompu le , il reprend quelques jours plus tard au début de [8],[9]. À partir du le transports des civils est interdit. À la fin de la guerre le réseau lourdement endommagé est reconstruit et les lignes progressivement remises en service, il est cependant possible que la ligne n'ait jamais cessé de fonctionner entre Valenciennes et la gare de Condé[note 1]. Le reste de la ligne est progressivement remis en service et électrifié[8] :
en et la section entre la Bleuse Borne à Anzin et la frontière avec Bon-Secours est électrifiée, de même que la ligne est remise en service entre Condé et la gare de Vieux-Condé (probablement en traction électrique) ;
enfin le la ligne est remise en service vers Hergnies.
↑« Tramways », Le courrier du Nord, , p. 2 (lire en ligne)
↑« Décret du déclarant d'utilité publique l'établissement d'une ligne de tramway de Bonsecours à Hergnies par Condé et Vieux-Condé (Nord). Convention et cahier des charges y annexés », Journal officiel de la République française, , p. 2959 (lire en ligne)