Selon Alban Cerisier et Jacques Desse, ces lettres témoignent de la pratique poétique que Saint-Exupéry avait du dessin, « située au plus près de sa sensibilité, toujours liée à la quête du point de résurgence de la source de l'enfance et du portrait de soi »[3]. Bernard Marck voit quant à lui « quelque chose de pathétique dans cette démarche de Saint-Exupéry, un besoin d'être rassuré plus que de séduire »[4].
↑Jean-Claude Perrier, « Le Petit Prince est mort : Les lettres dessinées de Saint-Exupéry à la dernière femme aimée », Livres-Hebdo, no 743, , p. 36.
↑Alban Cerisier et Jacques Desse, De la jeunesse chez Gallimard : 90 ans de livres pour enfants, Paris, Gallimard, , 255 p. (ISBN978-2-07-062281-8), p. 123 : catalogue de l'exposition Chez les libraires associés à Paris en novembre 2008.