Le roman se présente comme un texte autobiographique portant essentiellement sur le clan des cerfs dont le territoire, quelques mois par an, évolue dans le domaine rustique et montagnard où vivent Pamina et son compagnon Nils, en haut d'une vallée au-dessus de Colmar. Léo, un ouvrier spécialisé en papeterie et photographe de cerfs, est venu installer un affût photographique sur leur domaine. Pamina se prend à s'intéresser et observer tout ce qui concerne la vie nocturne des grands cerfs. La régulation de leur population (plus que celle des sangliers) est gérée par deux camps, les chasseurs (adjudicataires) et l'Office national des forêts.
Réception critique
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Le livre reçoit une bonne réception[3], Camille Laurens dans Le Monde considérant que ce livre personnel est aussi un « thriller sylvestre »[4].