Dans le recueil Le crime est notre affaire, Agatha Christie imite le style des enquêteurs créés par les auteurs de policiers en vogue à cette époque. Dans cette nouvelle, elle parodie le Dr Reggis Fortune créé par H. C. Bailey[1],[2].
Résumé
Lors du retour d'un voyage à l'étranger, un ambassadeur avait interverti son sac, contenant ses chaussures, avec celui d'une autre personne qu'il connaissait. Un serviteur était venu le rechercher. Mais lorsqu'il parla de cet incident à son ami de cet échange, ce dernier l'ignora. Pourquoi ? En réalité il s'agissait d'un trafic de drogue dans lequel son ami n'était en rien impliqué. Les deux sacs avaient simplement été intervertis parce que l'on savait très bien que les sacs des ambassadeurs ne passaient pas à la douane.
Source: David Leduc
Personnages
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Publications
Avant la publication dans un recueil, la nouvelle avait fait l'objet de publications dans des revues :
le , au Royaume-Uni, sous le titre « The Matter of the Ambassador's Boots », dans le no 1659 (vol. 128) de la revue The Sketch[3],[4] ;
1953 : The Ambassadors Boots, feuilleton radiophonique de la série Partners in Crime, avec Richard Attenborough et Sheila Sim donnant leurs voix aux Beresford ;
↑L'Intégrale : Agatha Christie (préf. Jacques Baudou), t. 2 : Les années 1926-1930, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Les Intégrales du Masque », , 1268 p. (ISBN2-7024-2087-7, BNF35338232), « Postface - Le Crime est notre affaire », p. 1033-1036