Catherine Nay consacre cet essai à François Mitterrand, décrivant l'ambition d'un homme qui se confond avec l'histoire de son pays, ambitions individuelle et collective inséparables. Pendant deux ans, elle s'est attachée à démêler les fils de son histoire personnelle, tout savoir de son parcours politique, sa jeunesse et ses années de formation, ses influences et les périodes difficiles qu'il a connues pendant la guerre, pendant « sa traversée du désert » entre 1958 et 1965.
Réception critique
Jean-Marie Colombani, dans Le Monde, en livre ce commentaire : « Le livre est écrit de bonne foi. Il se lit avec plaisir et n'encourage pas l'intolérance » et Alain Duhamel dans Le Quotidien de Paris : « Elle n'est pas indulgente mais elle critique sans bassesse. »