La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 12,83 km2[11],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,77 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 21 mètres. L'altitude du territoire varie entre 120 m et 141 m[14].
Hydrographie
Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 5,69 km, comprend un cours d'eau notable, le Betz (3,756 km), et deux petits cours d'eau dont le cours d'eau 01 de Gaugé (0,526 km) et le fossé 01 des Morailles (1,403 km)[15].
Les distances entre parenthèses indiquent, en kilomètres, les positions des lieux-dits et écarts par rapport au bourg par la route : les Roullets (1,3 km) ; la Ratonnierie (2 km) ; les Charpantiers (2,6 km) ; les Chalumeaux (3,3 km) ; les Bordes (2,4 km) ; les Dupuis (1,4 km) ; la Sauvagerie (3 km) ; le Buisson (0,5 km) ; Bouttcourt (2 km) ; les Bellemains (1,5 km).
Toponymie
Bignon est un mot de langue d'oïl bien implanté en Morvan, Poitou, Anjou, Centre et Mayenne , qui désignait une « eau qui jaillit du sol, une source avant sa sortie de terre ».
Le sens du toponyme est donc « la source », plus précisément « source dans un champ ». Le nom commun a continué d'être utilisé au Moyen Âge, ce qui explique la présence d'un article.
En 1889, le village accole à son nom d'origine le nom de Mirabeau[18]. Mirabeau signifie « lieu élevé, bien en vue ».
Les Melun de La Borde[20],[21],[22] vont garder le fief jusqu'au XVIIIe siècle : Guillaume de Melun, † vers 1445/1447, sire du Bignon et du Mez-lès-Melun, cousin germain du Grand-maîtreCharles, a pour fils Louis, † vers 1509, abbé de Ste-Colombe en 1486, qui cède Le Bignon à Museau de Morelet en . Mais son cousin Antoine Ier de Melun (fils d'un Louis de Melun sur lequel les généalogies divergent : demi-frère cadet du Grand-maître Charles et sire de Lezay, ou plutôt oncle paternel dudit Grand-maître ?) le rachète dès /1506 et ses descendants — la branche de La Louptière-Bignon-d'Esgligny — le conservent désormais.
Antoine II de Melun (1663-1731), marie en 1697 Marguerite-Marie-Françoise des Fossés, † 1735 au Bignon : leur fille Louise-Antoinette-Thérèse de Melun, née en 1710, épouse en 1734 François de Laurens marquis de St-Martin[23], qui vend Le Bignon en 1740 au marquis de Mirabeau, alias l'Ami des Hommes (1715-1789), qui en devient donc le seigneur justicier. Son fils, le célèbre comte de Mirabeau, héros des débuts de la Révolution, naquit en 1749 au château de Bignon[24]. En 1789, la famille doit vendre le château à Adrien Duport (voir plus bas).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[25]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savigny/clairis », sur la commune de Savigny-sur-Clairis à 15 km à vol d'oiseau[27], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 732,3 mm[28],[29]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[30].
Urbanisme
Typologie
Au , Le Bignon-Mirabeau est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[31].
Elle est située hors unité urbaine[32]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (75,5 %), forêts (21,2 %), zones humides intérieures (3,3 %)[33].
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune en 2018.
La commune du Bignon-Mirabeau est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible).
Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses
[34].
Entre 1989 et 2019, six arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : quatre pour des inondations et coulées de boues et deux pour des mouvements de terrains[35].
Risques naturels
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[36].
Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[37]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[38].
Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[39]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[35].
La paroisse du Bignon acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[41] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[42]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[43].
La commune prend le nom de « Le Bignon-Mirabeau » en 1881[44].
La commune est membre de la communauté de communes des Quatre Vallées depuis sa création le . Cette intercommunalité succède au SIVOM de Ferrières-en-Gâtinais, créé en , et au SIVOM de Corbeilles.
La loi du pour l'accès au logement et un urbanisme rénové, dite loi ALUR, fait évoluer de manière significative les compétences en matière d'urbanisme, dont certaines sont transférées de la commune à la communauté de communes[45].
La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d'intercommunalités en France, fait passer de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil démographique minimal pour constituer une communauté de communes et a un impact sur les périmètres des intercommunalités du département du Loiret dont le nombre passe de 28 à 16. Mais la communauté de communes des Quatre Vallées ne voit pas son périmètre changer[46] et la commune du Bignon-Mirabeau en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compétences avec l'attribution par exemple de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention à partir du [47].
La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune du Bignon est alors incluse dans le canton de Ferrières, le district de Montargis et le département du Loiret[50].
La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[51]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[52]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[53]. L'acte II intervient en 2003-2006[54], puis l'acte III en 2012-2015.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune du Bignon-Mirabeau aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.
La commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[44],[50]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[55].
Le , la municipalité du Bignon est rattachée au canton de Ferrières[56]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[57]. Le Bignon-Mirabeau est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Ferrières[58],[44], qui devient canton de Ferrières-en-Gâtinais en 2001[56].
La loi du [59] et ses décrets d'application publiés en février et [60] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Courtenay[60]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[61].
Lors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[62],[63]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[64]. Le Bignon-Mirabeau, initialement rattachée à la cinquième circonscriptionest, après 2010, rattachée à la cinquième circonscription[65].
Collectivités de rattachement
La commune de Le Bignon-Mirabeau est rattachée au département du Loiret et à la régionCentre-Val de Loire[66], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.
Politique et administration municipales
Conseil municipal et maire
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Le Bignon-Mirabeau, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[67], pour un mandat de six ans renouvelable[68]. Il est composé de 11 membres[69]. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.
En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures ménagères (SMIRTOM) de Montargis, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 3], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[72]. Un réseau de trois déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune de Dordives[73]. Le SMIRTOM de Montargis procède également à l'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l'unité d'Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[74].
Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Quatre Vallées en application de la loi NOTRe du [75].
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[84], est assurée par la commune elle-même[85].
La commune est raccordée à une station d'épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 210 EH, soit 32 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d'épuration de type filtre à sable. Son exploitation est assurée par Le Bignon Mirabeau[86],[87].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[88]. En 2017, la communauté de communes des Quatre Vallées assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[89],[90].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[91]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[92].
En 2021, la commune comptait 311 habitants[Note 4], en évolution de −4,01 % par rapport à 2015 (Loiret : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Église Saint-Jean-Baptiste datant du XVIe siècle ;
Château de Bignon datant de 1883, bâti par Ernest Sanson pour le deuxième général Arthur O'Connor (petit-fils du premier général Arthur ci-dessous), sur l'emplacement du château de Mirabeau qui datait du XVIIe siècle et qu'il venait d'abattre en 1880[94]. Il contient quatre objets inscrits aux Monuments historiques : une verrière, une dalle funéraire, une statue funéraire et une tapisserie[95]. Propriété des familles de La Tour du Pin Chambly de La Charce O'Connor puis d'Aboville, il se visite sur demande[96].
Patrimoine naturel
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal du Bignon-Mirabeau ne comprend pas de ZNIEFF[97].
Personnalités liées à la commune
Honoré-Gabriel Riquetti, marquis de Mirabeau (1749-1791), plus communément appelé Mirabeau, révolutionnaire français, écrivain, diplomate, franc-maçon, journaliste et homme politique français, est né dans la commune le .
Adrien Duport (1759-1798) Adrien Jean François du Port est une personnalité importante des débuts de la Révolution française. Il acheta le château du Bignon aux Mirabeau en 1789[98]. Pendant son émigration pour échapper à la Révolution, son épouse, Henriette Amable Élisabeth de Tubeuf, restée sur place avec ses enfants, vendit le domaine en 1796[99]
Arthur O'Connor (1767-1852), général des armées de la République et de l'Empire, né Irlandais, naturalisé Français en 1818, gendre de Condorcet. Acquiert le château en 1808, maire de la commune en 1830 sous Louis-Philippe, décédé dans la commune au château du Bignon. Arthur O'Connor et Elisa de Condorcet sont les arrière-arrière-grands-parents maternels de Patrice de La Tour du Pin.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑« Maison de Melun, p. 42 et 46-48 », sur Le Grand Dictionnaire historique, par Louis Moréri, t. X-Additions et corrections, aux Libraires associés, à Paris, 1759.
↑« Maison de Melun, p. 242 », sur Histoire généalogique et chronologique de la Maison royale de France, t. V, par les Pères Anselme, Ange et Simplicien, et Honoré Caille du Fourny, aux Libraires associés à Paris, 1730.
↑« Maison de Melun, p. 24-25, 38, 40-48 », sur Histoire généalogique et héraldique des Pairs de France, t. V, par le chevalier Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, 1825.
↑« Famille de Laurens, p. 561-562 », sur Dictionnaire de la Noblesse, t. VIII, par François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, chez Antoine Boudet à Paris, 1774.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN978-2-86253-234-9)
Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p. (ISBN978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN978-2-7332-1028-4, lire en ligne)