Le grand public l'a découverte avec son sketch musical 1,2,3 sur le thème de l'accouchement.
Biographie
Née en Île-de-France, Laurie Peret passe son enfance à Trappes[1] et à Élancourt[2]. Durant son adolescence, elle fréquente une école d'improvisation[1]. Elle intègre la compagnie Déclic Théâtre, poussée par Issa Doumbia (« Un gros coup de cœur amical ») qu'elle avait préalablement rencontré par l'entremise d'une connaissance commune[3].
En 2009, elle fait ses débuts sur scène dans la comédie musicaleMozart, l'opéra rock, où elle obtient un rôle secondaire en plus d'être la doublure du rôle de Constance Weber[4]. Elle joue ensuite des petits rôles au cinéma et à la télévision, et elle écrit pour Canal +[4].
En 2017, elle gagne le premier tremplin jeunes humoristes « Rir'O Centre »[1], ce qui lui permet de se produire en première partie des spectacles de Lamine Lezghad[4]. Un de ses sketchs, intitulé 1,2,3 et traitant de l'accouchement, lui permet d'accéder à la notoriété[5], bénéficiant d'une médiatisation dès sa présentation en sur la péniche-théâtre La Nouvelle Seine[6].
En 2018, elle diffuse ensuite ses sketchs sur Internet, fait la première partie de Bun Hay Mean en à La Cigale, et connaît une première exposition dans plusieurs médias[4]. Elle se produit aussi en première partie de Nora Hamzawi[2]. Laurie Peret crée alors son premier spectacle seule en scène, intitulé Spectacle alimentaire en attendant la pension[1]. Ce spectacle est constitué de sketchs chantés où elle interprète aussi la musique sur un piano électrique pour enfants[1]. Avec un humour osé et cru, qui laisse une place à l'humour noir comme à l'improvisation, elle y aborde notamment des thèmes féminins comme la grossesse ou le féminisme[5]. Elle considère sa fille, Jana, comme sa principale source d'inspiration[2].
Après une grossesse inattendue, elle donne naissance à une fille prénommée Jana le 8 décembre 2013[3]. Aujourd'hui célibataire, elle révèle que, contrairement à son spectacle, c'est elle qui a quitté l'homme qui partageait sa vie et non l'inverse, et ce, après 8 ans de vie commune[3].
↑« « C’est une discrimination contre les pauvres »… Le pire du mobilier urbain anti-SDF épinglé lors d’une cérémonie satirique », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).