Elle passe sa vie à porter des secours aux malheureux, à visiter les hôpitaux, les prisons, aidant surtout les prisonniers d'opinion. Elle est membre de l'« Association libre pour l'instruction du peuple » ; et lors de l'exécution de Pépin et de Morey, elle donne des preuves d'une grande exaspération et aide à les ensevelir.
Compromise dans l'affaire Hubert, complot d'assassinat au roi Louis-Philippe Ier, elle passe en cour d'assises en 1838, et est déclarée par le jury coupable de complot contre le gouvernement, avec circonstances atténuantes. Elle est condamnée à cinq ans de prison.
Conduite à Clairvaux, puis à Montpellier, elle meurt folle quelques années après.