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La Bassée est une ville située au sud-ouest de Lille, aisément accessible par les routes nationales RN 41 depuis Lille, RN 47 depuis Lens, et les routes départementales 941 depuis Béthune et 947 depuis Estaires.
La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par l'Ancien canal d'Aire à la Bassée, les Quatre Chemins[1] et un autre petit cours d'eau[2],[Carte 1].
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 22 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
Typologie
Au , La Bassée est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11].
Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (48,5 %), zones urbanisées (48,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[15]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 3 205, alors qu'il était de 3 005 en 2014 et de 2 778 en 2009[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à la La Bassée en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,6 %) inférieure à celle du département (1,6 %) et très largement en dessous de celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 50,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (52,5 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 4].
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 61, 62, 64, 236, 931, 932, 933, 934 et 935 ainsi que par les lignes de transport à la demande 22R, 61R, 62R, 64R et 74R du réseau Ilévia[16]. Elle est également desservie par les lignes 35, 37, 58 et 60 ainsi que par les services de transport à la demande Allobus A et Chronopro Z.I. PI Artois Flandres du réseau Tadao[17].
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Deux projets de contournement de La Bassée pourraient en 2008 être financés par le Conseil Général du Nord et des communautés d'agglomération :
« contournement sud », avec une nouvelle voie rejoignant la RN41
« contournement nord » qui, prévoit la création d'une route supplémentaire de 1 200 m.
Les travaux devraient être achevés en 2011, et faire l'objet d'une démarche « Route HQE » portée par le conseil général, avec des problèmes de fragmentation écologique à résoudre (Cf. Trame verte régionale).
Toponymie
Suivant l'étymologieceltique ou en vieux français, La Bassée signifierait « Terre basse », bien que la ville soit située dans une plaine peu accidentée. L'expression « La bassée » pouvait autrefois désigner une zone humide et basse fréquemment inondée, avec un sens proche de celui que nous donnons au mot « bassin » dans l'expression « Bassin-versant »[18].
Une vieille tradition, cette fois, voudrait que la ville autrefois importante, aurait été si réduite par les malheurs et la guerre qu'on l'aurait surnommée « l'Abaissée », mais aucune preuve n'étaye cette version, probablement issue des nombreuses guerres que la ville a subies.
Enfin, selon Tite-Live, La Bassée aurait été l'ancienne résidence des Basses : Bassorum Oppidum.
Noms anciens : Basseia, 1054, diplôme de Bauduin de Lille. Basseya, Basceia, Baszeia, cart. de Marchiennes.
Histoire
La Bassée a connu comme beaucoup de localités du nord de la France une longue histoire mouvementée dont les origines, très anciennes, sont mal connues, si ce n'est à travers des hypothèses plus ou moins acceptables.
Antiquité
Pline l'Ancien cite La Bassée dans ses écits sous le nom de Bassi ou Bassy qui est rattachée, avant l'arrivée des Romains, aux Atrébates. Il pourrait s'agir d'un site tribal constitutif des Atrébates. Après la conquête romaine, un oppidum rectangulaire protège le coeur de la ville. La position de La Bassée en fait un carrefour des principaux axes routiers[19].
L'historien Martin Lhermite, père jésuite né en 1596, dans son œuvre Histoire des saints de la province de Lille, nous apprend que La Bassée reçoit, en 390, la visite pastorale de saint Diogène, premier évêque d'Arras qui remplit sa mission d'évangélisation des terres de Flandre, encore païennes.
Moyen Âge
Il indique que, vers 430, les Francs font irruption dans les Gaules et refoulent les Romains après de sanglants combats qui auraient eu lieu sur les territoires d'Illies, Marquillies et Lorgies. Rien d'historique ne semble avoir été recueilli sur la région basséenne sous les rois de la première génération franque. Selon les chroniqueurs, le pays était alors presque entièrement couvert de marais ainsi que de bois parcouru par des meutes de loups, bois où une foule de hors-la-loi se réfugiaient pour assurer leur impunité.
Après saint Vaast vers 510 et saint Dominique en 555, saint Amand, fondateur de l'abbaye de Marchiennes, y prêchent l'Évangile.
Après Charlemagne, la contrée est, à diverses reprises, ravagée par les Normands. En 880, La Bassée est mise à feu et à sang et réduite à néant.
La Bassée encore à demi-entourée d'une immense marais devient une place religieuse et une place forte, disposant d'une place d'armes, habitée par un gouverneur et le « lieutenant du roy », lesquels gèrent un important corps de garde et un « magasin de guerre ». Cette garnison a son pendant à Aire-sur-la-Lys et à Saint-Omer qui sont également chargés de veiller sur le canal de Noeufossé, véritable fortification protégeant le Sud de la région des invasions et menaces venant du nord depuis sa construction par les armées de Baudouin VI vers l'an 1000. La ville est alors entourée d'un réseau de petits canaux et fossé en eau, large et profonds « qui ne peut se vider à cause des marais et des canaux qui y entrent ». Des chemins couverts, des bastions et diverses portes, murs et demi-lunes étaient alors protégés de fossés et palissades. Les fortifications de la petite ville abritent aussi des infrastructures conventuelles (religieuses et augustins, autour de l'église Notre-Dame).
Temps modernes
Pendant la guerre franco-espagnole de 1635-1659, La Bassée est une place forte des Pays-Bas espagnols. Elle sert de refuge aux villageois des environs et à leurs troupeaux menacés par les incursions de l'armée française. Elle repousse un coup de main français le et, après la prise d'Arras par les Français en 1640, les Espagnols renforcent ses remparts mais, le , le maréchal de La Meilleraye s'en empare après huit jours de siège. La garnison, forte de 1 800 hommes, obtient de se retirer avec les honneurs de la guerre[20]. Les États des Pays-Bas, excédés par les pillages des Français, demandent au gouverneur espagnol Francisco de Melo de reprendre La Bassée et lui offrent un subside de 80 000 florins. Melo se met en campagne avec 5 régiments espagnols, 3 italiens et 5 wallons ; il reprend Lens le , puis La Bassée, qui se rend le après 24 jours de siège ; la garnison française, commandée par le capitaine Bourdonnet, évacue la place avec les honneurs[21].
En juillet 1647, un sergent espagnol déserteur informe les Français que La Bassée n'a qu'une faible garnison. Ceux-ci, commandés par le maréchalJean de Gassion, mettent le siège devant la ville le et l'entourent d'une contrevallation sur les lignes des sièges précédents ; elle se rend le . L'archiducLéopold-Guillaume de Habsbourg, qui est à Douai avec une armée de secours, arrive trop tard pour la dégager. Ces sièges successifs laissent la ville et les villages environnants ruinés et dévastés[22],[23]. Le , le prince de Condé remporte une nouvelle victoire sur les Espagnols à Pont-à-Vendin près de La Bassée[24].
La ville reçoit pour gouverneur François-Marie de Broglie, capitaine piémontais au service de la France.
En 1660, elle est rendue à l'Espagne par le traité des Pyrénées mais redevient française lors de la guerre de Dévolution en 1667, acquisition reconnue par le traité d'Aix-la-Chapelle en 1668. Le traité prévoyait le démantèlement de ses fortifications qui est exécuté en 1673[25].
Vers 1708, la place protège à la fois l'Artois et Lille :
« Monseigneur le duc de Bourgogne, en se retirant à Tournay, avait projeté de se porter avec toutes ses forces à la Bassée et d'achever les fortifications que les ennemis y avaient commencées ; en attendant le moment où il pourrait exécuter ce projet, il y envoya aussi le 28 une brigade d'infanterie aux ordres de M. de Villiers pour renforcer M. de Sézanne, que M. de Cheyladet y avait déjà fait entrer au moment où les ennemis l'avaient abandonné pour marcher vers l'Escaut. Monseigneur le duc de Bourgogne regardait ce poste comme très important, et pour couvrir l'Artois et pour se procurer le moyen de faire entrer quelque secours dans la citadelle de Lille, ce qui cependant était devenu plus difficile que jamais, les ennemis ayant renforcé les postes de Lambersart et de Loos. M. le duc de Vendôme proposait de son côté de construire une ligne depuis la Bassée jusqu'à la Lys, persuadé que par ce moyen on empêcherait les ennemis de tirer des subsistances de l'Artois, du Furnembach et des autres pays situés à la gauche de cette rivière, et que par là l'établissement de leurs quartiers d'hiver leur deviendrait fort difficile. Le roi approuva le projet de monseigneur le duc de Bourgogne pour la Bassée, et lui recommanda d'établir aussi à Saint-Venant un poste qui fût en état de tenir pendant l'hiver[26]. »
Révolution française et Empire
En 1802-1803, pour ses transports, la ville est située sur le parcours de la diligence quotidienne reliant Lille à Béthune. Tous les jours, une barque permet d'attendre à Berclau, le passage de la barque Lille-Douai, pour y déposer et prendre voyageurs et marchandises[27].
Époque contemporaine
En 1808, on trouve à La Bassée un dépôt de sûreté, où on enferme les petits délinquants avant leur transfert en maison d'arrêt à Lille[28].
Les séquelles de guerre y sont restées visibles durant plus de 10 ans, temps de la reconstruction. En 1924, est posée la première pierre de l'hôtel de ville[30].
Au premier tour des élections municipales de 2014 dans le Nord, la liste DVD menée par le maire sortant Philippe Waymel obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 685 voix (69,77 %, 25 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire), devançant très largement celle DVG menée par Catherine Desailly-gonez , qui a recueilli 730 voix (4 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin, 41,43 % des électeurs se sont abstenus[33].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Nord, la liste DVD menée par Frédéric Cauderlier[34] — soutenu par le maire sortant Philippe Waymel, qui ne se représentait pas[35] — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 069 voix (50,44 %, 22 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant de 19 voix celle DVC menée par Ludovic Vandoolaeghe[36] (1 050 voix, 49,55 %, 7 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 51,26 % des électeurs se sont abstenus[37],[38].
L'école La Roseraie accueille les maternelles, l'école Jules Verne accueille les élèves de cours élémentaires, du CP au CM2 ainsi qu'une classe de CLIS, et l'école Charlemagne accueille les élèves de la Maternelle au CM2.
Le collège public Albert Schweitzer a été entièrement reconstruit en 2012 pour plus de 800 élèves.
Le Lycée Professionnel Boilly se situe rue du Collège, à côté du complexe sportif Guy Drut.
L'institution privée Notre-Dame est regroupée rue du Bois Saint Maur, ayant des élèves de la maternelle à la troisième.
La commune est un pôle d'enseignement d'environ 3000 élèves issus des Weppes et du Pas-de-Calais
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2021, la commune comptait 6 622 habitants[Note 4], en évolution de +2,37 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 088 hommes pour 3 457 femmes, soit un taux de 52,82 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,7
90 ou +
1,7
5,4
75-89 ans
9,9
14,6
60-74 ans
15,1
18,6
45-59 ans
17,1
20,9
30-44 ans
19,3
19,2
15-29 ans
18,3
20,6
0-14 ans
18,5
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[51]
L'enseignement catholique est implanté sur la commune avec l'Institut Notre-Dame-de-la-Bassée (qui rassemble écoles maternelle et primaire mais également collège) et le Centre de Formation Saint-Jacques, lui, sous l'égide de la Fondation d'Auteuil.
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Culture et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Vaast. Avant l'église Saint-Vaast actuelle, se succèdent sur son emplacement plusieurs édifices depuis le Moyen Âge, détruits par les incendies et les guerres. Une vaste église néogothique, réalisée par Camille Tierce et Charles Leroy, est fortement touchée par les obus lors des bombardements du 17 au puis détruite pendant la Première Guerre mondiale. L'avant-dernière église est alors construite sur les plans d'Auguste Corbeau et René Delannoy, associés à l'architecte communal Léon Debatte, avec les premiers procédés de béton moulé des années 1920. Elle est livrée en 1930[52] L'édifice, démoli en 2003 (à l'exception du clocher), est remplacé en 2005 par un lieu de culte d'architecture moderne conçu par l'architecte Gustave Demoulin et mêlant le béton armé au verre. La nouvelle église laisse plus de place à la lumière tout en disposant d'aménagements modernes, moyennant un emprunt qui court jusqu'en 2054[53],[54],[55].
Monument aux morts, initialement destiné à la municipalité d'Orchamps-Vennes (Doubs), qui représente au sommet de l'ouvrage une statue de Jeanne-d'Arc, et à sa base un groupe constitué d'une Alsacienne (debout) et une Lorraine (à genoux) en costumes traditionnels, situées en face d'un Poilu, dans la tradition du thème de la libération de l'Alsace-Lorraine, en grès rose et gris des Vosges, pierre de Chauvigny pour le groupe des trois personnages. Inauguré en 1927 malgré une polémique liée à la représentation de Jeanne-d'Arc sur un monument destiné avant tout à rendre hommage aux Poilus, il a été financé notamment par une souscription publique, une soirée de gala au cinéma L'Idéal en 1925, la vente d'insignes confectionnés par les élèves de la classe de Mademoiselle Gambier et un don de la ville anglaise de Preston[56].
Monument en l'honneur de Louis-Léopold Boilly, peintre, dessinateur et lithographe (La Bassée 1761 - Paris 1845);
Monument en l'honneur de Maurice Bouchery (1897 - 1944) chef du mouvement de résistance « Voix du Nord »[57].
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Eugène Mannier, Recherches sur la ville de La Bassée et ses environs, éd. H. Carion, Paris, 1854, p. 26-32.
↑Eugène Mannier, Recherches sur la ville de La Bassée et ses environs, éd. H. Carion, Paris, 1854, p. 33-38.
↑Eugène Mannier, Recherches sur la ville de La Bassée et ses environs, éd. H. Carion, Paris, 1854, p. 40-46.
↑Charles Delaroière, « Chronique de Bergues-Saint-Winoc », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1860-1861, p. 373-374, lire en ligne.
↑Eugène Mannier, Recherches sur la ville de La Bassée et ses environs, éd. H. Carion, Paris, 1854, p. 46.
↑Eugène Mannier, Recherches sur la ville de La Bassée et ses environs, éd. H. Carion, Paris, 1854, p. 46-48.
↑Mémoires militaires relatifs à la succession d'Espagne sous Louis XIV, de Jean Jacques Germain Pelet, Dépôt de la guerre, France, Chapitre : Campagne de Flandre—1708, page 149 (voir)
↑Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 218, lire en ligne.
↑« Frédéric Cauderlier officiellement désigné comme successeur par le maire de La Bassée : Philippe Waymel, 70 ans, a annoncé il y a un mois qu'il ne briguerait pas de quatrième mandat, et qu'il avait trouvé son successeur. Frédéric Cauderlier, 45 ans, président de l'union commerciale, se lance donc en politique », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Frédéric Cauderlier vainqueur à La Bassée, avec 19 voix d'avance : Avec une abstention historique, logiquement attribuée au coronavirus, le dépouillement a eu lieu dans une ambiance très tendue. Le successeur désigné par Philippe Waymel l'emporte avec les voix du centre-ville. Ludovic Vandoolaeghe n'exclut pas un recours », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« À La Bassée, Frédéric Cauderlier élu maire en l'absence de l'opposition : C'est la salle Vox qui a accueilli, samedi matin, le conseil d'installation permettant aux élus du 15 mars dernier de désigner le maire de la commune. Les sept élus de la liste de Ludovic Vandoolaeghe ont choisi de boycotter la cérémonie, lors de laquelle six adjoints ont été élus », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Anne-Gaëlle Besse, « La Bassée: les querelles judiciaires entre le maire et son opposant changent de dimension : Frédéric Cauderlier a déposé plainte pour diffamation et dénonciation calomnieuse suite à une plainte, classée sans suite, l'accusant de favoritisme dans une affaire de logement social. Il a demandé que la mairie prenne en charge ses frais de justice », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑B.S. (CLP), « Le patrimoine disparu des Weppes (5): les multiples vies de l'église de La Bassée : Cet été, nous vous proposons de découvrir le patrimoine disparu des Weppes, effacé par plus de 2 000 ans d'invasions ou par l'évolution des modes de vie. Dernier arrêt à l'église de La Bassée, qui a connu bien des déboires au cours des siècles », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« L'église de LaBassée, deux siècles de changements : La première église de la ville est mentionnée vers le VIe siècle. l'actuelle est bien plus récente ! », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Pour sa belle église née en 2006, La Bassée endettée jusqu'en… 2054 : En 2003, La Bassée injectait près de quatre millions d'euros pour reconstruire son édifice religieux et d'autres petits travaux. Un chantier titanesque financé par un prêt sur 51 ans. Dont il faut rembourser le triple. De quoi s'inquiéter pour les finances de la commune ? », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
↑Raphael Georges, Christophe Deguffroy, Aubry Martine, « La Bassée », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France-Belgique-Autres pays, (consulté le ).
↑ a et bAuguste Grauwin, « Monument Maurice Bouchery », Les combattants de l'ombre, sur paras.forumsactifs.net (consulté le ).