Pour Jean-Luc Douin, dans Le Monde[2], le film est un « récit d'initiation qui exalte l'apprentissage de soi-même et la sensibilité à l'amour à travers le geste artistique ».
Dans les Cahiers du cinéma[3], Jean-Michel Frodon évoque « l'étonnante architecture d'émotions qui se nomme L'Étrangère » et un « drôle de film qui semble ne s'être collé sur le dos tous les fardeaux du « premier film » que pour mieux prendre la tangente ».
Selon Chronic'art[4], le flm de Florence Colombani « concentre à lui seul toutes les tares d’un cinéma de jeune premier, élitiste, autiste, académique quand il rêve d’avant-garde, minuscule et horripilant ».
Notes et références
↑Source : Imdb ; 17 janvier selon les Cahiers du cinéma.