Fatima est étudiante à l'Université libre de Bruxelles[4]. Elle ne se sent pas vraiment chez elle dans son quartier, sa commune de Molenbeek[4]. Sous sa djellaba, elle ressent plutôt l'environnement comme « le leur. Celui des hommes »[4].
Critiques
Selon Jean-Pierre Castellani de Diacritik, Fouad Laroui présente une réflexion sur les corps de la femme, sur son rapport à la nudité, aux vêtements, aux conventions sociales et religieuses[5].
Selon Pierre Maury du Nouveau Magazine littéraire, Fouad Laroui donne avec Fatima de L'Insoumise de la porte de Flandre un bel exemple de personnalité complexe[4].
Références
↑Fouad Laroui, L'Insoumise de la porte de Flandre, Paris, éditions Juillard, , 131 p.