Lors du confinement dû à la pandémie de Covid-19, Román, un jeune acteur, fait la connaissance par internet d'Aldo, un Indigène qui a l'autorisation de se déplacer pour son travail[1].
Le réalisateur s'intéressait au rapprochement entre l'épidémie de sida et la pandémie de Covid-19 et en a fait le point de départ du film[2]. Le titre La huella de unos labios était déjà le titre d'un film de Juan Bustillo Oro de 1952.
Choix des acteurs
Le réalisateur a choisi pour acteurs principaux Hugo Catalán, qui avait joué dans son film de 2014 Tout le bonheur du monde et dans une série qu'il a réalisée, El juego de las llaves. L'acteur s'est dit fier de jouer des personnages très différents dans sa carrière[3].
Roze Filmdagen(nl) (Festival du film LGBT d'Amsterdam) : prix du jury pour le meilleur film[4]
Accueil critique
Pour Gabe Evaristo, « C'est une sexualité crue et sans complexe, qui s'accompagne habituellement de plusieurs scènes de sexe, de conversations d'une sincérité désillusionnée avant et après les relations sexuelles, et d'une incapacité à cibler le public[5] ».
Pour Rich Cline, « ne reculant jamais devant les représentations de la sexualité ou la nudité, Hernández est capable d'explorer des idées sur l'intimité de façon remarquablement efficace[6] ».