Le narrateur achète des journaux et voit, en première page, que plus de 8 500 êtres humains s’étaient suicidés. Face à ce chiffre, il ressent au plus profond de ses entrailles chaque suicide, il voit, devant ses yeux, la souffrance de chaque être face à la mort. Car, avant le suicide, l’humain ne peut s’imaginer ce qu’est la mort, la fin de la vie.
Il est ensuite amené dans un rêve fort étrange où il voit un bâtiment avec inscrit, sur la façade, Œuvres de la mort volontaire. Le narrateur est très étonné et rentre.
Le cercle Œuvres de la mort volontaire tue doucement, calmement les gens le désirant. Il anéantissent les personnes grâce à un gaz qui met un certain temps à agir.
Le narrateur lui-même en fait l’expérience et n’arrive à se détacher de l’Endormeuse, le lit ou les futurs suicidés sont installés. Mais le narrateur, lui, contrairement aux suicidaires, sort du lit avant de mourir.
A la fin de la nouvelle, le narrateur réalise que son aventure dans le cercle Œuvres de la mort volontaire n’était qu’un songe.