Selon les sources et le contexte, on observe différentes formes . Cependant que la bonne appellation
c'est a koromba au pluriel et a koromdo au singulier : Akurumba, Déforobé, Déforo, Foulcé ou Foulsé ou Fulse, Koromfé, Kouroumba, Kouroumbas, Kuruma, Kurumbas, Kurumfe, Lilsé, Nioniossé, Nyonyosi, Sikomsé, Tellem[1].
À ce titre, deux villages du Burkina Faso ont l'ethnonyme « Foulcé » accolé à leur nom : Nagraogo-Foulcé et Nango-Foulcé.
Pierrette Arnaud, « Expression graphique et milieu culturel : à propos des dessins réalisés par les jeunes Kurumba », in Journal des africanistes, 51 (1-2) 1981, p. 265-276
(de) Annemarie Schweeger-Hefel, Die Kurumba von Lurum : Monographie eines Volkes aus Obervolta, Schendl, Vienne, 1972, 532 p.
(de) Annemarie Schweeger-Hefel, « Die Kurumba-Mythe von der Entstehung des Todes », in Ethnologische Zeitschrift Zürich, 1974, II, p. 49-72
Wilhelm Staude, La chefferie du Lurum : réalités et légendes (République Haute Volta), École pratique des hautes études, Paris, 1968, 346 p. (thèse de 3e cycle de Sciences religieuses)