Il est élu au Conseil des États en cours de législature[4], en raison de la démission Kurt Schoch, élu au Tribunal fédéral. Il s'impose au premier tour par 6 914 voix contre 5 825 à son adversaire socialiste[5]. Il y est député du au et préside le conseil du au [6]. Il est membre de la commission de la science et de la recherche, qu'il préside en 1973, de la commission des affaires militaires et des chemins de fer[2] et de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe de 1973 à 1979[1].
Profil politique
Sensible à la protection de la nature et de l'environnement, il lutte en particulier contre l'usine électrique de Rheinau (il cofonde à cet effet la Ligue de Rheinau et l'Association du Randen)[1]. Il se profile également sur les questions culturelles[7].
Autres mandats
Il préside la commission fédérale pour la protection de la nature et du paysage de 1980 à 1988[1] et occupe le poste de vice-président du conseil de fondation Fonds national suisse de la recherche scientifique de 1975 à 1978[3].
(de) Die Geschichte der Gemeinde Büttenhardt, Büttenhardt, Chancellerie communale de Büttenhardt, , 216 p.
(de) Geschichte von Wilchingen, Wilchingen, Chancellerie communale de Wilchingen, , 342 p.
Notes et références
Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page « Kurt Bächtold » de Eduard Joos (trad. Pierre-G. Martin), le texte ayant été placé par l’auteur ou le responsable de publication sous la licence Creative Commons paternité partage à l'identique ou une licence compatible.