Il y fait son retour six ans plus tard, quand Konstantínos Simítis le nomme ministre de l'Intérieur, de l'Administration publique et de la Décentralisation le dans son troisième exécutif. Il est relevé de son poste le au profit du technocrate Nikólaos-Michaíl Alevizátos.
Il se présente le à l'élection du président du PASOK, contre le sortant Giórgos Papandréou et Evángelos Venizélos. Avec 5,7 % des voix, il termine troisième et se trouve largement distancé par Venizélos, défait également avec 38,2 %, et Papandréou, vainqueur avec 55,9 % des suffrages.