Il est un réalisateur prolifique des années 1960, à une époque où la production cinématographique est plutôt stakhanoviste : les films sortant constamment, sans trop d'égards pour la qualité, dans le but de respecter le quota d'importation de films étrangers, qui est à l'époque de 3 productions locales pour 1 étrangère. Certains réalisateurs parviennent à tourner 6 à 8 films par an, mais Kim Soo-yong alla plus loin encore, en tournant jusque 10 films en 1967[2]. Il est actif comme réalisateur jusqu’en l’an 2000.