Il a été ministre du Pétrole et des Mines de 2006 à 2008[3],[4],[5], puis de nouveau de mars à [6]. En juin 2014, il devient envoyé spécial à l'ONU pour le Yémen[6].
Le , il présente sa démission, déclarant ne pas vouloir être responsable « de ce qu'il se passe et ce qu'il se passera »[13]. Sa démission est rejetée par le Parlement[14].
Le , son assignation à résidence est levée par les Houthis[15]. Il refuse de revenir sur sa démission et part pour le Hadramaout[15]. Le , il rencontre le président Abdrabbo Mansour Hadi à Riyad[16], puis le 12 avril, celui-ci le nomme vice-président, tout en le reconduisant à son poste de Premier ministre[17]. Il est investi le 13 du même mois à l'ambassade du Yémen en Arabie saoudite après avoir prêté serment[18]. Il est alors considéré comme un homme de consensus, acceptable par les acteurs de la crise[19]. Le , il appelle les Forces armées à défendre le « gouvernement légitime »[20]. Le , il part pour Aden[21]. Le , il annonce la réinstallation du gouvernement à Aden, après son départ en exil à Riyad à la suite des attentats d'octobre à Aden[22].
Le , son gouvernement retourne définitivement à Aden[25].
Il est limogé le par le président Abdrabbo Mansour Hadi[26], qui le nomme par la suite au poste de conseiller à la Présidence[27]. Le , il dénonce un « coup d'État »[28] et appelle à contester son éviction[29],[30]. Ahmed ben Dagher lui succède au poste de Premier ministre tandis qu'Ali Mohsen al-Ahmar devient vice-président. Hadi affirmera par la suite qu'il n'étais pas à l'origine de sa désignation en [31].
Il retourne à Aden en 2022 après la démission de Hadi[32].
↑« Pourquoi est-ce que les pays en guerre au Moyen-Orient se soucient de l’environnement ? | VICE News | French », VICE News, (lire en ligne, consulté le )