Il a annonce son retrait de l'équipe du Los Angeles Times le [6].
Il intervient dans le documentaire For the Love of Movies: The Story of American Film Criticism, expliquant sa querelle publique avec le réalisateur James Cameron, qui a envoyé un mail aux rédacteurs en chef du Los Angeles Times pour leur demander de le licencier après qu'il a écrit une critique cinglante de Titanic[7]. James Cameron accuse Kenneth Turan d'utiliser une « pluie incessante de barbes personnelles » et d'utiliser sa « chaire d'intimidation non seulement pour attaquer [son] film, mais l'ensemble de l'industrie cinématographique et son public »[8].
Kenneth Turan fonde le programme radiophonique Arts Alive pour la KUSC. Il fait également quelques critiques pour l'émission Morning Edition de la National Public Radio.
(en) Kenneth Turan, Never Coming to a Theater Near You, PublicAffairs, , 401 p. (ISBN978-1586482312).
(en) Kenneth Turan, Now in Theaters Everywhere: A Celebration of a Certain Kind of Blockbuster, PublicAffairs, , 400 p. (ISBN978-1586483951, ASINB001WAJWHY).
(en) Kenneth Turan et Joseph Papp, Free for All: Joe Papp, The Public, and the Greatest Theater Story Ever Told, Knopf Doubleday Publishing Group, , 648 p. (ISBN978-0385532044).
(en) Kenneth Turan, Not to Be Missed: Fifty-Four Favorites from a Lifetime of Film, Hachette Livre, , 368 p. (ISBN978-1610396318).
↑(en) Kenneth Turan, « The Fall and Rise of an Ex-Communist: The 20 Yeat Struggle of Maurice Braverman, Ex-Convict, Attorney at Law », The Washington Post, (lire en ligne, consulté le )