En plus d'avoir travaillé pour l'organisme Québec Cinéma[5], elle a été rédactrice pour Séquences (revue)[6]. Elle a fait paraître différents textes dans Spirale (Québec)[7] et Le Devoir[8], entre autres. Son premier roman, Barbe, est écrit entièrement en minuscules[9] et relate l'histoire d'une jeune fille à barbe qui s'exile dans la forêt gaspésienne au cours des années 1940. Son côté poétique[10],[11],[12],[13] et ses réflexions sur la sauvagerie[14],[15] ont été soulignés à maintes reprises par la critique.
Fanie Demeule (Université du Québec à Montréal), « Nomade de nature : déconstruction des identités binaires selon un modèle post-moderne dans Barbe (2015) de Julie Demers », colloque international « Masculin/Féminin. La performativité du genre dans la littérature québécoise depuis la Révolution tranquille », Université Simon Fraser, Vancouver, [24]
Fanie Demeule, « Nomade de nature : déconstruction des identités binaires selon un modèle post-moderne dans Barbe (2015) de Julie Demers », Études francophones, University of Louisiana at Lafayette, vol. 29, automne 2018, disponible en ligne[25]
Philippe St-Germain, « Capillaire (chapitre) », dans Kaléidoscorps. Sur quelques métamorphoses corporelles dans la littérature québécoise, Montréal, L'instant même, 2019.
Références de bibliographie critique
Chloé Leduc-Bélanger, « Barbe de Julie Demers : quand l'imagination investit la rusticité », Les Méconnus, 2 septembre 2015[11].
Dominic Tardif, « L'hirsute fille », Le Devoir, 12 septembre 2015[14].
Caroline R. Paquette, « Romans de la rentrée : une prometteuse déferlante ! », Collections, septembre 2015, p. 6.
Lisanne Rheault-Leblanc, « 7 livres québécois parfaits pour une lecture d'automne », Nightlife.ca, 7 octobre 2015[15].
Sylvain Sarrazin, « Barbe : poésie pileuse », La Presse, 24 novembre 2015[10].
Rédacteur anonyme, « Quélesen : Barbe von Julie Demers », Quélesen, 9 décembre 2015[26].
Bryan St-Louis, « Épilogue », Radio CKIA, 6 décembre 2015[27].
Émilie Godin, « 6 romans pour hiverner », Issuu, hiver 2016, p. 21.
Marie-Michèle Giguère, « Julie Demers, Elsa Pépin, Mario Cholette », Lettres québécoises, no. 164, hiver 2016, p. 27-28.
Reine Côté, « Julie et la fille à barbe », L'Express, 14 janvier 2017.
CBC Books, « 24 works of Canadian fiction to watch for in the first half of 2018 », 23 janvier 2018[28].
David Smith et Emma Page, « Little Beast by Julie Demers », Asymptote Journal, 7 mai 2018[29].
Meagan Logsdon, « Little Beast », Foreword Reviews, mai-juin 2018[30].
Tobias Caroll, « The Watchlist », Words Without Borders, mai 2018[31].
Sarah Murdoch, « Five Good Books that Come in Small Packages », Toronto Star, 1er juin 2018[32].