Sa première œuvre d'importance est une grande villa d'architecture néo-mauresque pour le voyageur George Labit capable d'héberger les nombreux objets ramenés de ses voyages en Extrême-Orient. Cette villa est maintenant le Musée Georges-Labit.
Dans un style néo-renaissance, il construit un hôtel particulier pour l'industriel Paul-Marius Thomas. La cour intègre une partie de l'ancien Hôtel de Pins démonté lors du percement de la rue du Languedoc.
Il réalise ensuite de nombreux immeubles dans Toulouse[1],[2].
Jules Calbairac se marie en 1893 avec Marthe Prouvost[3]. Leur fils ainé Henri, né en 1896 et mort assassiné à Hanoï le 18 aout 1945, fait une carrière de médecin militaire[4]. La rue du Médecin Colonel Calbairac à Toulouse porte son nom. Leur fils Gaston, né en 1902, est juriste. Il publie en 1966 un ouvrage de 27 pages sur l’œuvre de son père[5].