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De 1988 à 1997, Judith Devaux étudie l'histoire de l'art et l’égyptologie à l’École du Louvre ; en 1997, elle obtient la mention Très Bien pour son diplôme de recherche sur les Techniques de Sculpture en Égypte ancienne[3].
Parallèlement, elle étudie la sculpture aux Ateliers Beaux-Arts de la Ville de Paris, à l’École Boulle, puis à la ménagerie du Jardin des plantes où elle installe son atelier de 1993 à 2005. Depuis 2005, elle s'installe à Nîmes, d’où elle travaille en Camargue notamment.
↑Définition de quelques caractéristiques techniques de la statuaire de pierre dure dans l'Égypte ancienne, page 39, Revue d'égyptologie', Volume 51, Société Française d'égyptologie, éd. E. Leroux, 2000
Le prix Édouard-Sandoz est attribué chaque année à un sculpteur pour l'ensemble son œuvre. Un des salons de l'Hôtel de Malestroit à Bry-sur-Marne permet à l'artiste, invité d'honneur, d'exposer une vingtaine de ses œuvres. Depuis 2006, la Fondation Édouard-et-Maurice Sandoz confie le soin au Conseil d'Administration du Salon National des Artistes Animaliers de désigner le lauréat du prix Édouard-Marcel-Sandoz, du nom de l'artiste animalier (1881-1971). C'est en 2008 que Judith Devaux a reçu cette distinction pour la qualité de ses sculptures.
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jean-Charles Hachet, Dictionnaire illustré des sculpteurs animaliers et fondeurs, de l’Antiquité à nos jours, Dictionnaires Argus Valentines, Paris, 2005.
Aude De Kerros, L'art caché : Les dissidents de l'art contemporain, page 250, éd. Eyrolles, 2011 (ISBN2212862199)