Juana Ramírez naît en esclavage. En 1813, elle commande une unité d'artillerie entièrement féminine qui contribue à résister aux tentatives des soldats espagnols de reconquérir le Venezuela alors nouvellement indépendant et d'en faire à nouveau une colonie.
Postérité
Un monument, classé en 1975 puis en 1994, désigne le dernier lieu de repos de sa dépouille. Un autre monument, Juana La Avanzadora, est érigé en son honneur sur l'avenue Bolívar à Maturín.
Le , les restes de Juana Ramírez sont déplacés au Panthéon national du Venezuela.