Reprenant ses activités au Barreau de Guéret, il est choisi comme candidat de l'opposition démocratique dans la 1re circonscription de la Creuse le , mais il est battu avec 7 628 voix contre 15 525 voix contre Delamarre, le candidat officiel.
Devenu maire de Guéret le , il est révoqué après la démission du président de la RépubliqueAdolphe Thiers, le . Lors des premières élections sénatoriales du , il est élu sénateur de la Creuse avec 210 voix sur 328 votants. Siégeant sur les bancs de la gauche républicaine, il vote contre la dissolution de la Chambre des députés par Mac-Mahon, en . Après la victoire des 363, il soutient les divers ministères républicains opportunistes.
Réélu sénateur le avec 452 voix sur 616 votants, il meurt au mois d'août de la même année. Il est enterré au cimetière des Pénitents noirs de Guéret dans le tombeau de sa belle-famille, où est enterré également son beau-père André Leyraud, lui-même député de la Creuse[1].