En 1869, il se porte acquéreur du domaine des Hauldres sur la commune d'Étiolles dont il est le maire de 1874 à sa mort. Dans le parc subsiste le chalet dont il est l'auteur. Ce domaine en bordure de Seine lui sert de résidence d'été. Au décès de sa veuve en 1897, le domaine passe entre les mains de son cousin Pierre-Joseph-Marie Le Soufaché, officier de marine en retraite[5].
↑Tables décennales de Bruz 1803-1812, cote 10 NUM 35047 550 – Naissances à Bruz 1804-1805, cote 10 NUM 35047 519 (acte no 2), sur le site des Archives d’Ille-et-Vilaine.
Charles Questel, « J.M.A. Lesoufaché, architecte, censeur de la société, sa vie, ses œuvres, 1804-1887 », Société centrale des architectes, Paris, 1887.
Gérard Rousset-Charny, « Notice sur l’hôtel Lesoufaché, le no 47 », in Rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris, 1994, p. 175.
Jimmy Caldato (sous la direction de Bruno Foucart), Joseph-Michel-Anne Lesoufaché (1804-1887) : monographie d’un architecte parisien du XIXe siècle, Mémoire de maîtrise, Paris 4, 1996.
Philippe Cachau, Etude historique du domaine départemental de la plaine des Coudrais à Etiolles, Conservatoire des espaces naturels sensibles, Conseil général de l'Essonne, 2007, p. 80-83.
Juliette Jestaz, « “L’architecture et l’art de bien bastir” une collection : Joseph Lesoufaché (1804-1887) », in Le XIXe siècle et l’architecture de la Renaissance, Éditions Picard, 2010.