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John Montague est l'un des poètes anglophones contemporains les plus connus[3]. Outre ses nombreux livres de poèmes, il a publié deux recueils de nouvelles et deux volumes de ses mémoires. En 1998, il est le premier à occuper la Chaire de Poésie d'Irlande (Ireland Chair of Poetry) nouvellement créée.
John Montague est, dans les années 1960, le correspondant de l'Irish Times à Paris, où il rencontre sa première épouse, Madeleine, et où il est proche de Samuel Beckett ainsi que de Claude Esteban dont il a traduit de nombreux poèmes en anglais.
Amours, Marées, édition bilingue, choix de poèmes de Josine Monbet et Michael Scott, traduit de l'anglais par le Groupe d’études et de recherches britanniques, Université de Bordeaux III, Éditions William Blake, 1988.
Nouvelles extraites de Death of a Chieftain :
"Le cri", trad. de Serge Fauchereau, in Les Lettres Nouvelles, juin-juillet, 1969
"La route devant", trad. d'Isabelle Auricoste, in Brèves no 13, 1984
"Ce sombre complice", trad. d'Elisabeth Hellegouarc’h, in Anthologie de nouvelles irlandaises, Publications de l’Université de Caen, 1987.
Poèmes extraits de Mount Eagle ("Hearth Song", "Deer Park", "Matins", "Harvest", "Nest", "The Broken Doll", "Luggala"), trad. et introd. d'Elishéva Marciano, in Labyrinthe, no 5 (hiver 2000), p. 99-111[1].
Une danse lente, traduction par Jean-Philippe Gagnon, Montréal, Éditions Mains libres, 2023, 234 p. (ISBN9782925197355)
↑Plusieurs de ses poèmes ont été publiés en France, en version bilingue avec le concours de l'auteur, par la revue/anthologie de poésie Les Citadelles.