John G. Cramer travaille sur le projet STAR (Solenoidal Tracker At RHIC) qui vise à détecter les Relativistic Heavy Ion Collider (RHIC) au Brookhaven National Laboratory. Il travaille également au CERN à Genève, en Suisse. Actuellement, il participe à un projet à l'université de Washington visant à tester la rétro-causalité, en utilisant une version du delayed choice quantum erasersans compteur de coïncidences (coincidence counting). Cette expérience, si elle réussit, impliquerait que l'enchevêtrement peut être utilisé pour envoyer un signal instantanément entre deux sites distants. Ces possibilités n'ont jamais été menées avec succès, et seulement tenté un nombre limité de fois, puisque la plupart des physiciens croient qu'ils violeraient le théorème de non-communication. Toutefois, un petit nombre de scientifiques (dont Cramer) estiment qu'il n'y a aucune loi physique interdisant une telle communication.