Il accompagne Benjamin Cowburn dans sa troisième mission de chef du réseau TINKER dans la région de Troyes. Il en est l’opérateur radio et Yvonne Fontaine est la coursière du réseau. Le récit de cette phase, qui commence avec leur parachutage dans la nuit du 10 au , figure dans Benjamin Cowburn#Troisième mission.
Dans la nuit du 15 au , deux mois après Cowburn, John Barrett rentre à Londres[3].
Deuxième mission en France
Parachuté en , avec Pierre Mulsant, il est opérateur radio du réseau MINISTER.
Aux mains de l’ennemi
Il est arrêté en , déporté à Buchenwald en août et fusillé le , .
au camp de Buchenwald, une plaque, inaugurée le , honore la mémoire des officiers alliés du bloc 17 assassinés entre et , notamment vingt agents du SOE, parmi lesquels figure « Barrett, Flt Lt D.J. ».
Michael R. D. Foot, Des Anglais dans la Résistance. Le Service Secret Britannique d'Action (SOE) en France 1940-1944, annot. Jean-Louis Crémieux-Brilhac, Tallandier, 2008, (ISBN978-2-84734-329-8). Traduction en français par Rachel Bouyssou de (en) SOE in France. An account of the Work of the British Special Operations Executive in France, 1940-1944, London, Her Majesty's Stationery Office, 1966, 1968 ; Whitehall History Publishing, in association with Frank Cass, 2004.
Ce livre présente la version officielle britannique de l’histoire du SOE en France. Une référence essentielle sur le sujet du SOE en France.
Benjamin Cowburn, Sans cape ni épée, Gallimard, 1958, ch. XII Troisième mission et suivants.
J.D. Sainsbury, Le Mémorial de la section F, Gerry Holdsworth Special Forces Charitable Trust, 1992.
Hugh Verity, Nous atterrissions de nuit..., Éditions Vario, 5e édition française, 2004.
Jacques Cumont, Les Volontaires de Neuilly-sur-Marne du groupe Hildevert et le réseau Armand-SPIRITUALIST 1944, Lys Éditions Amatteis, (ISBN978 2 86849 108 4).
Capitaine Roger Colson, Le Réseau "Jean-Marie" au combat, préface de Remy, éditions France-Empire, 1982,