Sa mère enseignait le dessin assisté par ordinateur dès les années 1980 à l'école d’arts graphiques MJM, à Rennes[3]. Plus intéressé par la confection de skateboards que par le lycée, il n'a pas le baccalauréat et n'a donc pas suivi de cursus artistique post-bac[3]. Il suit une formation en alternance dans la mode, qui l'amène à travailler à Londres, où il découvre le potentiel artistique de la projection[3].
Avec Olivier Ratsi, Yannick Jacquet et Romain Tardy, il est le fondateur, en 2008, du collectif AntiVJ[4].
Il travaille avec « le mapping, l’IA ou les installations orchestrant la rencontre de la matérialité et du numérique[2] » et autour de la lumière[5],[6].
« Joanie Lemercier ne cache pas son militantisme pour la cause environnementale. Il a notamment collaboré avec le collectif Extinction Rebellion, lors des projections visuelles dénonçant la pollution des bateaux de croisières »[5] selon France Info. Il défend l'idée de sobriété heureuse[7].
Il s'installe en 2013[8] à Bruxelles[9],[10] et a un studio de 500 m2 sur la commune d'Anderlecht[8]. En 2024, on le trouve à Paris, aux Centquatre avec l'installation Slowmachine[7] qui relate la mine de Hambach en Allemagne[11], laquelle a mobilisé des écologistes qui y ont installé une ZAD[12]. Il collabore en effet depuis plusieurs années avec l'association Ende Gelände ce qui lui a valu une interview dans le TAZ en 2020[13].
Expositions - performances
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