Son cinéma s'intéresse à « la sphère privée et ses limites[3] ». La traduction de ses titres de films en anglais souligne cet aspect : Folie privée (2004), Nue propriété (2006) et Élève libre (2008) sont respectivement traduits par Private Madness, Private Property et Private Lessons[3].
« À moi, on me donne une caméra et je filme exactement ce qu’on ne montre pas : les moments où l’on se dispute, où il y a des bagarres, des tensions. »
Le , Libération publie une enquête dans laquelle plusieurs collaborateurs du cinéaste dénoncent des méthodes « pouvant relever du harcèlement moral ou sexuel[5],[6]. »