Jeannette Boulizon, née à Paris le [1] et morte à Montréal le , est une écrivaine, éditrice et enseignante québécoise. Elle est cofondatrice du collège Stanislas de Montréal, à Outremont, où elle enseigne pendant plusieurs années[2]. On la connaît aussi sous son nom de jeune fille, Jeanne Chobert.
Elle contribue à la vie intellectuelle québécoise notamment à travers sa participation à la Société d'étude et de conférences[5]. Elle co-écrit avec son mari, Guy Boulizon, la plupart de ses œuvres[6].
Elle est aussi active dans le mouvement des scouts et fonde avec son époux, le 55e Guynemer en avril 1939 dans les locaux du collège Stanislas de Montréal.
↑ a et bFanie St-Laurent, « Envisager le milieu littéraire avec une perspective féminine : le cas de Jeannette Boulizon », Documentation et bibliothèques, vol. 56, no 4, (ISSN0315-2340 et 2291-8949, DOI10.7202/1029040ar, lire en ligne, consulté le )
↑« Décès, prières, remerciements », La Presse, (lire en ligne)
↑ a et bLily Tasso, « Jeannette Boulizon : Un demi-siècle de vie passionnante à Montréal », La Presse, (lire en ligne)
↑St-Laurent, Fanie, Les choses intellectuelles plutôt que la broderie : la Société d'étude et de conférences de l'entre-deux-guerres à la révolution féministe, Sherbrooke, Université de Sherbrooke, (lire en ligne)
↑« Guy Boulizon (1906-2003) - Hommage à un «Honnête Homme» », Le Devoir, (ISSN0319-0722, lire en ligne, consulté le )