Elle fait la connaissance de la résistante d'origine juive Gisèle Gonse-Boas en 1943. Recherchée, Jeanne Reynaud la prend en charge et la cache à son domicile de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, puis la conduit en zone libre, à Sainte-Maxime, en la cachant dans un wagon-lit, mais Gisèle Gonse-Boas tombe gravement malade, et Jeanne Reynaud décide alors de la conduire dans une clinique parisienne pour qu'elle puisse être soignée. Après cela, elle la cache à nouveau chez elle, jusqu’au , où Jeanne Reynaud est arrêtée et incarcérée à Vittel.