Jeanne Bérangère, née Jeanne Châtelain, lauréate du Conservatoire de Paris et accessit de comédie et 2e prix de tragédie, débute à l’écran en 1909 en jouant d'abord des rôles d'ingénues.
En 1910, elle est dirigée par Albert Capellani dans Péché de jeunesse et La Vengeance de la morte, ce dernier film a pour scénariste André Mouëzy-Éon qui épousera Jeanne Bérangère en 1914[1].
La publicité de la firme Pathé frères célèbre « cette beauté calme et sereine empreinte d’une douceur, d’un charme ineffables et la grâce délicate » de Bérangère.