A partir de 1947, elle devient collaboratrice technique de Jean Nougayrol au sein du CNRS et collabore avec Agnès Spycket[5], notamment dans le cadre de la gestion des collections assyriennes du Louvre[3]. Elle quitte quelque temps l'assyriologie pour devenir journaliste pour L’Économie, mais elle revient rapidement à l'assyriologie[3]. Elle est surnommée Sam au sein des milieux scientifiques orientalistes français, sans que l'origine d'un tel surnom soit claire[3].
En 1957, elle présente son mémoire à l'EPHE, consacré au prisme F d'Assurbanipal[3],[5], un objet des collections du Louvre[6]. Elle s'intéresse aussi, en collaboration avec Adolf Leo Oppenheim, à l'interprétation des rêves dans le Proche-Orient ancien[7]. Aynard travaille sur le sujet de la vie après la mort en Mésopotamie[8].
Le prisme du Louvre AO 19.939. Bibliothèque de l'École des Hautes École des Hautes Études, IVe section, sciences historiques et philologiques (1957)[9]