Auteure d'une thèse de 3e cycle, Influence du milieu urbain sur la vie traditionnelle des femmes de Bacongo-Brazzaville (EPHE, 1964[4]) et d'une thèse d'État, Princes montagnards : les Mofu-Diamaré et le pouvoir politique (Paris 5, 1988[5]) sous la direction de Georges Balandier, elle fut directrice de recherches au CNRS[6].
Sélection de publications
La culture du cacao et son retentissement social dans la région de Souanké, ORSTOM, 1961
Femmes africaines en milieu urbain, ORSTOM, 1966
Le mouvement Croix-Koma : une nouvelle forme de lutte contre la sorcellerie en pays kongo, Mouton, 1966, [lire en ligne]
Le Pouvoir et le sacré chez les Hadjeray du Tchad, Anthropos, 1975
Traditions et transition : entretiens avec des femmes beti du Sud-Cameroun : mariage et situation pré-coloniale, anciens rites de femmes, magie et sorcellerie, réactions à la christianisation (témoignages recueillis et présentés par Jeanne-Françoise Vincent, 1976
Mille et un proverbes beti : la société beti à travers ses proverbes, SELAF, 1985 (recueillis par Théodore Tsala, éd. par Jeanne-Françoise Vincent et Luc Bouquiaux, préf. de Philippe Laburthe-Tolra)
Femmes beti entre deux mondes : entretiens dans la forêt du Cameroun, Karthala, 2001
La Construction religieuse du territoire, L'Harmattan, 1995 (en collab. avec Daniel Dory et Raymond Verdier)
Filmographie
Le taureau des ancêtres, film documentaire (réal. Jeanne-Françoise Vincent, commentaires Jean-Dominique Lajoux et Youssouf Tata Cissé), CNRS Audiovisuel, cop. 1993
↑Marie-Rose Abomo-Maurin, « Jeanne-Françoise Vincent et les femmes beti du Sud-Cameroun », in Journal des africanistes, 83-2, 2013, p. 178-182, [lire en ligne]
Marie-Rose Abomo-Maurin, « Jeanne-Françoise Vincent et les femmes beti du Sud-Cameroun », in Journal des africanistes, 83-2, 2013, p. 178-182, [lire en ligne]