Après avoir été professeur à Poitiers, il est nommé en 1955 à Paris. Il prend alors la direction de la série P, « Commerce mondial et conditions internationales de la Croissance » des Cahiers de l'ISEA de François Perroux[3].
Après guerre, il travaille sur la Charte de La Havane puis participe aux négociations du GATT. En 1958, il contribue au Traité de sociologie publié par Georges Gurvitch.
Jean Weiller est pour la coopération économique inter-gouvernementale qu'il voit comme un moyen de lutter contre les inégalités de développement, les dominations et les subordinations[4].
Jean Weiller a aussi consacré du temps à réhabiliter la pensée de Sismondi.
Bibliographie
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Émile James eds (1985). Croissance, échange et monnaie en économie internationale : mélanges en l'honneur de Monsieur le Professeur Jean Weiller. Paris: Économica.
Geneviève Charles, « Iténéraire intellectuel de Jean Weiller », dans Mélanges en l'honneur du Professeur Jean Weiller, , p. 3-6.
Bernard Ducros, « Jean Weiller », Revue économique, vol. 52, no 1,