Il prend possession de son siège le et devient abbé commendataire de Saint-Taurin en 1713. Malgré ses liens avec le clergé parisien, il est l'un des artisans de la destruction de Port-Royal des Champs. Dans son diocèse, il agit avec la même rigueur en 1728 contre les partisans de Jean Soanen. Il meurt à Évreux le [2]. Il lègue par testament son importante bibliothèque à son église ce qui est contesté en justice par sa nièce et héritière Blanche Le Normand, veuve du sieur Alleuame qui a finalement gain de cause en 1735 contre le chapitre de chanoines[3].
Notes et références
↑Alphonse Chassant, G. Ernest Sauvage, Histoire des évêques d'Évreux : avec des notes et des armoiries, p. 169
↑Armand Jean, Les évêques et les archevêques de France depuis 1682 jusqu'à 1801, Paris et Mamers, 1891, p. 353.
↑P.-F. Besdel, Abrégé des causes célèbres et intéressantes, p. 97-102