Il poursuit Guingouin d'une haine tenace et participe copieusement à la campagne calomnieuse contre l'ancien chef du maquis limousin durant les années 1940 et 1950, allant jusqu'à signer des articles vengeurs dans Le Populaire du Centre.
En 1947, un jury d'honneur[précision nécessaire] blanchit Le Bail du soupçon d'avoir refusé en 1942 de recueillir chez lui son ancien condisciple de la rue d'Ulm, Jean Cavaillès, alors recherché par la police (Cavaillès, l'un des fondateurs en 1940 du mouvement de résistance « Libération », et qui fut arrêté par la Gestapo en 1943 et fusillé l'année suivante).