En 1615, il enseigna l'hydrographie à l'École de cartographie de Dieppe et fit des observations sur la déclinaison de l'aiguille magnétique. Il était également l'examinateur pour le brevet de pilote de navire. Il sera également chargé de décrire les côtes et hauteurs des îles de France de Calais à Saint-Jean-de-Luz.
En 1627, il réalisa la carte hydrographique des côtes françaises.
En 1630, il publia le "Traité d'hydrographie". Il détaille dans ce manuscrit le système de représentation cartographique de la Rose des vents[1]
En 1645, "Le Traité de l'Astrolabe" reprend le système de Jean Guérard[2]