Fonctionnaire du Trésor public, Jean Curabet s'engage dans le syndicalisme au sein de la CGT du Puy-de-Dôme. Résistant dans ce département au sein des Mouvements unis de la Résistance (MUR), avec le grade de capitaine, il est président du Comité départemental de la Libération du Puy-de-Dôme[1].
En , il est élu, par le Conseil de la République, membre de l'Assemblée de l'Union française. Il est l'un des 24 conseillers de l'Union française membre du groupe communiste de cette Assemblée[2]. Il le reste jusqu'en 1952. Il reprend ensuite sa carrière professionnelle de receveur-percepteur des contributions.