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Jean-Marie Teno a étudié la communication audiovisuelle à Valenciennes et a travaillé comme critique cinématographique pour Bwana Magazine et comme chef-monteur à France 3.
En 1983, il réalise son premier court métrage documentaire Schubbah.
En 1992, il réalise son documentaire Afrique, je te plumerai sur les effets du colonialisme et du néocolonialisme au Cameroun.
Il vit entre la France, le Cameroun et les États-Unis.
Jean-Marie Teno est le porteur du projet La'a Lom qui est une forge cinématographique où il entend stimuler la créativité artistique des jeunes férus des arts en général et de cinéma en particulier[1].
1994 : Prix du jury de l'OUA aux Journées cinématographiques de Carthage
1995 : Prix UICN et Prix des Assureurs Africains au FESPACO ; Prix du Documentaire au Festival Vues d'Afrique de Montréal
Afrique, je te plumerai...
1992 : Prix du documentaire au Festival de Troia ; Prix du jury O.C.I.C. aux Journées cinématographiques de Carthage ; Prix pour la Solidarité dans le monde aux Journées cinématographiques de Carthage.
L'Eau de misère
1989 : Prix TV5-Europe à Écovision à Lille ; Mention très honorable au Festival de Troia (Portugal)
Fièvre jaune taximan
1986 : Mention spéciale au Festival de Clermont-Ferrand
Voir aussi
Bibliographie
« Les 50 personnalités qui font le Cameroun : Jean-Marie Teno », Jeune Afrique, n° 2520-2521, du au , p. 44