Il est élu maire de Beaucaire en 1983, succédant au communiste José Boyer.
À sa création en 1987, il devient, aux côtés de Pierre André et Julien Rey, président d'honneur du club des « Anciens razeteurs »[1].
Il se fit remarquer en concluant une alliance avec le FN, malgré la marginalisation des rapprochements entre l'extrême-droite et la droite classique[réf. nécessaire][Quand ?].
Réélu maire aux municipales de 2001, il a notamment pour adjoint Cédric Durand, délégué aux sports, aux nouvelles technologies, à l'information et la communication[3].
Retrait progressif de la vie publique (après 2002)
Il choisit alors, en 2002, Mireille Cellier pour le remplacer à la tête de la mairie. Il reste alors premier adjoint au maire jusqu'en 2008, président quelquefois le conseil municipal en l'absence de la première magistrate[4].
Puis il siège dans l'opposition après les élections municipales de 2008. Il envisage un temps une candidature aux élections sénatoriales de septembre de la même année[5]. En 2011, il donne sa démission[6]. Son fils Christophe André, suivant de liste, le remplace alors au conseil municipal.
↑Jean-Yves Camus et René Monzat, Les Droites nationales et radicales en France : répertoire critique, Lyon, Presses universitaires de Lyon, , 526 p. (ISBN2-7297-0416-7), p. 378.
↑A. F., « Cédric Durand : « Un homme libre qui ne désire pas faire carrière » », Midi Libre, no 22 500, , p. 3
↑Arnaud Fauli, « Priorité au développement économique », Midi Libre, , p. 9
↑Édith Lefranc, « Quel avenir pour les sept cantons ? », Midi Libre, no 22 512, , p. 2
↑Adrien Boudet, « Élu depuis 28 ans, Jean-Marie André démissionnera dimanche », Midi libre, .
↑Adrien Boudet, « Jean-Marie André : « Maintenant, c'est TSB ! », Midi libre, .