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Formé à l'école Boulle de 1962 à 1966, Jean-Luc Maréchal est l'élève de Pierre Mignot (professeur d'atelier de gravure en modelé de 1963 à 1991)[1]. À la fin de sa formation, diplôme en poche, il sort major de promotion (promotion 1962)[2].
Afin de parfaire ses connaissances, il travaille dans différentes entreprises avant de s'associer, en 1972, avec Georges Bergevin (ancien élève de l'école Boulle) comme artisan-graveur jusqu'en 1977[3].
Entrée à la Monnaie de Paris
En prévision d’une présentation de ses travaux à une exposition sur les Arts du métal, Jean-Luc Maréchal prit rendez vous avec Pierre Dehaye, président de la Société d’encouragement des métiers d’art (SEMA)[4]. Le rendez-vous eut lieu dans son bureau de directeur de la Monnaie de Paris, car il avait la double fonction.
À l’issue de cette entrevue, Pierre Dehaye lui annonça qu'Émile Rousseau, graveur général des monnaies, souhaitait le rencontrer, car celui-ci cherchait des graveurs pour l’atelier dont il avait la charge. Jean-Luc Maréchal se présenta au rendez-vous par politesse, sans donner suite à sa demande.[réf. souhaitée]
Ce n’est que quelques mois plus tard qu’il est revenu sur son refus, et dès lors, il entama une préparation méthodique afin de passer et réussir le difficile concours d’entrée. Sur les neuf candidats… il fut reçu premier.[réf. souhaitée]
Série commémorative : Histoire de l'Europe par son architecture (2000)
Monnaie commémorative : Art moderne (2000)
Monnaie commémorative du 250e anniversaire de la naissance de Mozart (2006)
Galerie
Récompenses
International Coin Design Compétition 2001
Au mois d’, nouvellement nommé maître graveur, Jean-Luc Maréchal se retrouvait avec la fonction de chef de service de la gravure par intérim[réf. nécessaire]. La Monnaie du Japon organisait un concours international de création de monnaie, l’International Coin Design Competition (ICDC), concours ouvert à des créateurs du monde entier, sur un sujet libre[6]. Il y participe avec le graveur Nicolas Cozon et reçoivent le titre honorifique de Lauréat de l’ICDC Most Excellent Work[7].
Jean-Luc Maréchal est par ailleurs passionné d'histoire locale, passion qu'il met en mouvement en tant que membre du Centre d’études clunisiennes[14] dans la ville de Cluny, dans laquelle il réside. Bénévole dans l'associationLa Maison des Dragons, il fit gagner à cette dernière l'une des récompenses en jeu dans l'émission culturelle de France 2Sauvons nos trésors[15],[16]. Il fut l'architecte du rapprochement entre l'association La Maison des Dragons et Villages-en-vie[17]. Il est enfin l'animateur des Secrets de maison à Cluny, œuvrant pour la restauration et le partage de l'histoire de maisons remarquables à Cluny[18].
↑Jean-Luc Maréchal & co-auteurs, Le Guidon et la Plume : Dix récits de voyages à vélo, vol. 1, F.F.C.T., , 111 p. (ASINB07TWR1B4L, lire en ligne)
↑Jean-Luc Maréchal & co-auteurs, Les feuilles de Savigny : Mensuel d'informations locales de Savigny-le-Temple, N°271, Mairie de Savigny-le-Temple, , 24 p. (lire en ligne), p. 4,5
Philippe Théret, Le franc : Les monnaies, les archives, Paris, Les Chevau-légers, , 1126 p. (ISBN978-2-37909-000-4), p. 25 à 31, p. 970 à 972, p. 1010 et p. 1049.