Au début de son épiscopat jusqu'en 1711, il se montre indulgent vis-à-vis des jansénistes et des gallicans. Il meurt à Nantes le [2]. On conserve son sceau[3].
Notes et références
↑(la) Pierre-Paul Laffleur de Kermaingant, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Michel du Tréport : Ordre de Saint Benoit, Paris, Impr. de Firmin-Didot, (lire en ligne), p. CLV.
↑Armand Jean, Les évêques et les archevêques de France depuis 1682 jusqu'à 1801, Paris et Mamers, 1891, p. 437-438.