En 1969, il rentre en tant que directeur technique chez Framatome qui compte alors 85 salariés[1]. Il en prend la direction en 1970[3]. Il transforme alors la petite société qu'est Framatome au rang de numéro un mondial des centrales nucléaires. A la fin de sa carrière, il s'oppose fermement à la fusion de son entreprise avec GEC-Alsthom, l'Etat prendra finalement le choix contraire. Il quitte Framatome le 4 décembre 1994, jour de son soixante-huitième anniversaire[4].
Il a ainsi été un des principaux acteurs de l'implantation du nucléaire en France, défendant l'indépendance de Framatome[5].
Vie privée
Après avoir pris sa retraite, il continue à s'impliquer pour le nucléaire, notamment en rédigeant des articles dans des revues comme Commentaire[6] ou le club des vigilants [7].
Il est également invité comme grand témoin à la présentation du dictionnaire historique des patrons français [8].