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Il épousa Mariuccia, de son vrai nom Mariana Cenci[2]. "Ce mauvais sujet de Mariuccia" est découverte par le peintre Etienne-Jean Delécluze alors en séjour à Rome vers 1823, au pied de l'immeuble de Schnetz, "fourrée dans un tonneau couchée et se faisant balancer impérieusement par un petit garçon"[3]. Elle va devenir un modèle recherché, ayant successivement une idylle avec les peintres Navez, puis Schnetz, posant nue pour Ingres lui-même, et aussi pour Antoine Wiertz. Elle inspire Berlioz et devient l'épouse de Jean-Baptiste Gibert. Henri Lehmann fera son portrait (Anciennement collection général Bertin de Vaux, château de Villepreux[4], actuellement acquis par le musée Fabre de Montpellier[5]).
↑Catalogue de l'exposition Henri Lehmann (1814-1882), portraits et décors parisiens, Paris, Musée Carnavalet, , p. cat. n° 287
↑Delécluze, Louis David, son école et son temps, Paris, Didier, (réimpr. réédition Macula (Paris) 1983) (lire sur Gallica, réédition Macula (Paris) 1983 (ISBN2-86589-009-0) - [détail de l’édition]), p. 133
↑Marie-Madeleine AUBRUN, Henri Lehmann (1814-1882), catalogue raisonné de l'œuvre, , Vol. I, p. 99, n° 221 et Vol. II, repr. p. 142
Charles Gabet, Dictionnaire des artistes de l'école française au XIXe siècle, 1834
Emmanuel Moatti, Jean-Baptiste Gibert (1803-1883) (sic), [catalogue d'exposition, en collaboration avec la galerie Antoine Laurentin], New York, octobre-, 78 p.