Selon le témoignage polémique de l'abbé Proyart, il serait le fils d'un «pauvre paysan de la Picardie »[1]. Il est en fait issu de la bourgeoisie rurale: il est le fils de Jean-Baptiste Dumouchel, marchand à Saint-Clair, et de Catherine Blondel, et le filleul de Jean François Lesueur, fermier de la terre de Saint-Clair et de Marie Maillet femme de Jean Alard, laboureur[2].
Après l'abolition du culte, il rentre dans la vie civile et il décide de se marier. Il est attaché au ministère de l'intérieur (division de l'instruction publique).
En 1809, il demeure à Paris rue de Bourgogne, no 36. Il est alors chef de division dans les Bureaux de l'université impériale. Le , il est le témoin de mariage de son ami le docteur Jean-Baptiste Dumangin avec Anne de Coste de la Calprenède[4].
Dumouchel est mis à la retraite en 1814. Il meurt le à Paris.